Sous le pavillon de la transparence

Face à la loi de la jungle et ses rois, puis face au capitalisme et ses magnats tout-puissants, une aile entière du politique s’est levée pour dénoncer. Mais elle a pris le pli, et maintenant, une bonne frange de cette aile ne sait faire que ça : dénoncer et canceller, noircir au max. À la guerre comme à la guerre !

Mais cela n’a pratiquement jamais aucun effet, globalement, sur la loi de la jungle, cette autre aile qui prétend être l’oiseau entier. Sinon que les partisans de cette dernière ont beau jeu de relever la dérive partisane de la première pour l’antinomie haineuse qu’elle démontre. Et l’on se hait et se moque ainsi à l’infini, au grand plaisir des alimenteurs de guerres.

Ces hystéries de pointage de doigt, de cancellations allègres et superficielles, de malpropagande éhontée et de zizanies fomentées doivent un instant se taire et observer la situation dans son ensemble.

À qui profite la guerre, sinon aux fomenteurs de guerres ?

Je ne dis pas qu’on ne devrait pas se défendre. Mais la solidarité n’est-elle pas la meilleure défense ?

De toute façon, c’est maintenant bien bien clair, Mister Thronald et autres lethal yahoos, que votre business, c’est le Ministère de la Guerre. ^^

Il y a cependant plein de réponses à cette sinistre « grande image » mondiale qui peuvent rallier toutes les personnes qui veulent juste vivre en paix et qui n’ont rien à voir avec ce qu’on appelle aujourd’hui la gauche et la droite ― sinon de par leurs légitimes préoccupations communes et complémentaires.

Voyons juste, voyons clair. Débattons sainement des idées, dans un vrai débat ouvert. Dotons-nous d’outils et de pratiques pour le faire.

Voyons l’importance du chapitre, du tableau ― de cette ère à finir : celle de la guerre pour la guerre, lucrative industrie de massacres et de pillage.

Voyons la possibilité encore jouable du jeu consistant à vivre ensemble. Tout le côté positif de la communication intelligente !

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Le journal La Tramice (LaTramice.net, si vous me permettez une plogue) se veut un terrain de jeu pour penser à ce jeu.

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